Goron adhère aux engagements du Global Compact de l’ONU

15 janvier 2019

En 2018, Goron s’est engagé auprès du Global Compact des Nations Unies, la plus importante initiative internationale d’engagement volontaire en matière de responsabilité sociétale.

L’initiative Global Compact accompagne les entreprises dans leur politique RSE

Présent dans plus de 170 pays du monde, le Global Compact des Nations Unies est une initiative inernationale qui rassemble près de 13 000 entreprises, organisations, agences des Nations Unies, acteurs du monde du travail et de la société civile, autour de dix principes universellement reconnus. Ces principes sont relatifs aux droits humains, à l’environnement, aux normes internationales du travail et à la lutte contre la corruption. Ils fournissent ainsi une véritable feuille de route à toutes les organisations qui souhaitent faire progresser leurs pratiques et leur démarche de responsabilité sociétale.

Engagé pour des pratiques humaines plus respectueuses mais aussi en faveur de la planète, le Global Compact des Nations Unies aspire également à soutenir les 17 objectifs de Développement Durable adoptés par l’ONU et fixés pour l’horizon 2030. Un plan d’action pour la paix, l’humanité, la planète et la prospérité, dans lequel chaque entreprise a un rôle essentiel à jouer.

 

 

Goron développe sa responsabilité sociétale avec le Global Compact

Désireux de tenir son rôle en tant qu’acteur dans la construction d’une société plus durable, Goron est ainsi devenu adhérent du Global Compact des Nations Unies en 2018. Dans un objectif d’amélioration continue de sa responsabilité sociétale, Goron s’engage, par cette adhésion, à intégrer les 10 principes dans sa stratégie, sa culture organisationnelle et ses opérations. Nous nous engageons également à agir pour soutenir les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies.

Goron adhère au Global Compact de l'ONU

Au titre de cette nouvelle adhésion responsable, Goron rejoint également le réseau dynamique de Global Compact France, animé par quelque 1 300 organisations membres dans l’hexagone. L’entreprise aura ainsi l’occasion de bénéficier d’un accompagnement dans sa démarche de progrès, mais aussi d’un lieu d’échanges et de travail stimulant avec d’autres organisations et entreprises, afin d’impulser, développer et partager ses démarches de responsabilité sociétale. Preuve de son engagement, Goron sera amené à communiquer chaque année sur les progrès réalisés.

GORON reçoit le trophée du Meilleur Employeur 2018 lors d’un événement organisé par le magazine Capital

En février 2018, GORON a obtenu – pour la seconde année consécutivele label « Meilleur Employeur » décerné par le magazine Capital. L’entreprise a été classée en tête des sociétés de sécurité privée et seconde dans la catégorie « Service d’assistance ». En juin, le magazine a organisé une cérémonie de remise des prix dans un palace parisien. Les équipes de GORON y étaient.

Les conseils d’une ancienne pilote de chasse

Durant la matinée de remise des prix, le magazine Capital a organisé une conférence animée par Virginie Guyot, ancienne pilote de chasse et ex-leader dans la patrouille de France en 2010. L’ occasion pour l’invitée de partager et développer son leitmotiv : “se donner les moyens de réussir”.

Elle a par ailleurs démontré que la vie en entreprise pouvait s’inspirer de certaines méthodes de l’armée de l’air comme la performance collective, l’engagement autour de valeurs communes ou encore la confiance envers un leader.

Après la conférence, l’ancienne pilote de chasse a pris le temps de livrer quelques conseils de management en entreprise.

 

“Cette récompense est une belle reconnaissance de nos valeurs. Elle souligne l’attractivité de notre marque employeur, la cohésion de nos équipes ainsi que notre expertise RH.”

Eric Chenevier, PDG de GORON

 

Goron a reçu le trophée de meilleur employeur 2018 dans un palace parisien

Loi antiterroriste : Périmètre de Protection et Agent de Sécurité Privée

6 novembre 2017

Depuis le 1er novembre, la loi antiterroriste est en vigueur, après 2 ans d’état d’urgence.

L’un des principaux point de la loi est la mise en œuvre des périmètres de protection. Pour sécuriser un site ou un évènement susceptible d’être exposé à un risque terroriste, les Préfets pourront mettre en œuvre des périmètres de protection avec des mesures d’inspection et de filtrage, aux abords de ces zones, faites au besoin par des agents de sécurité privée ou des policiers municipaux.

Périmètre de protection, palpation et fouilles

C’est par arrêté préfectoral d’une durée limitée d’un mois que le périmètre de protection sera défini. Au sein du périmètre, palpations de sécurité, fouilles visuelles et inspections des bagages seront possibles. La réglementation cadre très précisément ces actions de fouille et d’inspection pour lesquelles ne sont habilitées que la Gendarmerie et la Police.

Les agents de sécurité privée viendront donc en complément des forces de l’ordre et seront sous l’autorité d’un officier de police judiciaire, pour un événement spécifique, d’une durée limitée dans le temps. Ils devront être spécialement habilités à cet effet et agréés par le préfet pour l’évènement. Cette délégation de certains pouvoirs aux agents de sécurité privée s’inscrit dans la réflexion actuelle du Gouvernement relative au « continuum de sécurité intérieure ».

Qu’en pensent les français ? A priori, ils approuvent

D’après un sondage réalisé en septembre 2017 par l’IFOP pour le compte de l’USP – l’Union des Entreprises de Sécurité privée (http://usp-securite.org/ ) –  sur un échantillon représentatif de plus de 1004 personnes, 3 français sur 4 estiment que les professionnels de la sécurité privée sont complémentaires des forces de sécurité publique.

Ils accordent d’ailleurs une place élevée au rôle de la Sécurité Privée dans « la lutte contre le terrorisme ». Pour sa part, lors d’une récente visite aux forces de l’ordre sécurisant la Tour Eiffel, le Premier Ministre, Edouard Philippe a souligné l’importance du rôle de chaque citoyen mais aussi de la Sécurité Privée, estimant que « la sécurité, ce n’est pas seulement l’affaire des policiers et des gendarmes » ( Le Figaro – Edition du 2 novembre 2017).